TATOUER, SCULPTER, ECRIRE - Le feu créatif sous d'autres formes

TATOUER, SCULPTER, ECRIRE - Le feu créatif sous d'autres formes

1. Ce feu-là

Ce n’est pas qu’on s’éparpille. C’est qu’on déborde !

On ne crée pas parce qu’on a trop d’idées.
On crée parce qu’on porte un feu à l’intérieur, un feu qui cherche sans cesse un langage.

Tatouer n’est qu’un point de passage.
Chez nous, l’élan est le même quand on prend une aiguille ou un stylo, un pinceau ou une souris de modélisation. Ce n’est pas une stratégie. C’est une manière d’exister.

 

2. Changer de matière, pas d’élan

Maxime modélise, imprime, peint.
Ses mondes prennent corps en 3D, ses volumes s'incarnent, ses couleurs vibrent sous l’aérographe ou l’huile. Ce qu’il apprend dans la sculpture numérique nourrit sa vision du tatouage : précision, textures, proportions, ombre et lumière.

Nouchka écrit, trace, assemble.
Ses mots tatouent l’invisible, ses dessins cherchent le nerf de l’émotion, ses mains testent, plient, recousent, photographient. Les histoires qu’elle capte deviennent parfois des tatouages, des flashs, des oracles ou des phrases sur la peau.

On explore des formes différentes.
Mais c’est toujours le même cœur qui bat derrière.

 

3. L’univers étendu de L’Artisterie

On ne crée pas juste des tattoos. On construit un univers.

Chaque création – qu’elle naisse d’un rêve, d’un logiciel ou d’un atelier d’écriture – est une branche de cet arbre aux mille racines.

✹ Un flash tatouage peut devenir un bijou imprimé en 3D.
✹ Une sculpture peut prolonger une illustration.
✹ Une citation écrite dans un carnet peut renaître sur la peau.
✹ Un oracle peut porter les symboles que Maxime a sculptés et que Nouchka a racontés.

Tout se répond. Tout se relie.

 

4. Créer, encore et toujours

Chez nous, la création n’est pas un produit : c’est une respiration.

Nouchka : Moi, si j’écris pas ou si je dessine pas pendant plusieurs jours, je commence à grincer de l’intérieur. C’est comme si j’avais besoin de remettre de l’ordre dans mon chaos. Écrire, c’est pas toujours joli au début, mais c’est comme passer le linge sale dans un bain de lumière. J’écris pour comprendre ce que je ressens, pour m’apaiser, pour inventer des mondes où je peux être moi sans qu’on me demande de rentrer dans une case. Et puis quand je dessine, je redeviens gamine — c’est sérieux mais jamais grave. C’est doux. C’est puissant. C’est ma façon de tenir debout.

Maxime : Moi c’est quand je bricole ou que je modélise un truc en 3D. Y a un moment où je pense plus à rien, même pas à ce que je suis en train de faire. C’est un peu comme méditer… sauf qu’à la fin, t’as un objet. Une sculpture. Une forme qui existait pas avant. Et ça, je trouve ça dingue. C’est pas juste créer pour créer, c’est construire quelque chose qui te dépasse un peu. Qui a du sens. Qui sort de toi mais qui te recentre. Et puis entre nous, y a pas meilleur anti-stress qu’un bon coup de perceuse dans du bois — sauf peut-être les petits plats de Nouchka (mais ça c’est pas un tuto, c’est du bonus).

À deux, on a découvert que créer, c’est aussi mieux se comprendre. Et que nos passions, aussi différentes soient-elles, partent toutes d’un même endroit : le besoin d’exister pleinement. D’incarner ce feu-là sans le laisser nous consumer.

Parce que ce feu-là ne s’éteint pas. Il change juste de forme. Et on le suit, chaque jour, avec joie et instinct !

 

Tu veux suivre ce feu ?
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Impression 3D : @alvasan3d (Instagram)
Ecriture : @latelierdupapierfroisse (Instagram)
Tatouage : @lartisterie_tattooshop (Instagram)

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